Enquête : qui se cache postérieur les sites de voyance en ligne ?
De la table de salon aux serveurs dématérialisés : une mutation riche Lorsque j’ai commencé à questionner des professeurs du sphère, j’ai compté frappé par le contraste entre la intuitions collective de la voyance – encore couramment liée à une ambiance feutrée, tamisée, avec un magicien en vis à vis – et la réalité moderne de l'entrainement. Aujourd’hui, la plupart des consultations se font… sans se voir. La voyance en ligne s’est imposée sans tapage, par tous nos smartphones, l'ensemble de nos ordinateurs, l'ensemble de nos tablettes. Cette mutation est autant dans les domaines méthode que sociétale : les hommes et les femmes, de plus en plus jeunes, recherchent de la cadence, de la discrétion et la faculté de consulter sans s'astreindre à courir. D’un avis structurel, cela a accords l’essor de modèles économiques hybrides : certaines personnes fournissent des consultations en direct par téléphone, d’autres fonctionnent par boutique d’emails ou de SMS, avec une réactivité éminente. J’ai pu dénicher une multitude de de ces interventions de façon anonyme. Ce qui m’a surpris, ce n’est pas aussi bien le texte – variable d’un voyant à l’autre – que la fluidité du distance client. Sur un site par exemple Voyance-Olivier. com, l’accès n'a jamais vécu aussi simple, les solutions sont de façon plus claire proposées, et l’ambiance entière est loin du illustration mystico-commercial. On sent un sens pensé, un souci de voyance olivier l’expérience usager et un encadrement juridique concret. Ce modèle de plateforme se présente comme un subterfuge : la voyance en ligne n’est plus un substitut au cabinet ancien, elle est le canal important pour une génération connectée.
Le destinée de la voyance passera-t-il par l’intelligence artificielle ? Une sujet a émergé au cours de mes échanges avec les protagonistes du domaine : la voyance en ligne, telle qu’elle existe de nos jours, pourra-t-elle survivre à l’essor des intelligences artificielles ? Certains sites commencent déjà à proposer des tirages “automatisés”, générés par des scripts ou des chatbots entraînés à répondre de manière supposé mais attachante. Ces outils, s’ils sont divertir ou intriguer, posent un incomparable problème éthique : peuvent-ils changer l’intuition humaine ? Ont-ils une légitimité pratiquante ? Pour les cartomanciennes classiques, résultat est claire et nette : non. La voyance fonctionne avec un modèle d’interprétation vivante, inspiré, mentale, qui n'a pas la possibilité de se amincir à des silhouette de code. Pour d’autres, les IA seraient en capacité de devenir des instruments d’aide, de support, mais pas des remplaçants. Le phototype serait que l’utilisateur, déjà fragilisé, ne particularise plus une consultation automatisée d’un marché matériel. C’est pourquoi la clarté du sentiment devient stratégique. Des sites comme celui d’Olivier patrice offrent soit-disant un lien social à savoir empreinte de différenciation : tout réponse est rédigée en personne, zéro IA n’intervient, et l’échange reste confidentielle et à l'avance. Cela rassure. Et cela positionne également ce type d’offre dans une démarche de confiance durable. Car la cliente, au fond, ne cherche pas un gadget sur internet. Il cherche une écoute, un éclaircissement, une visibilité. La voyance en ligne, si elle est humaine, peut alors arroser cette propos avec pertinence. Mais si elle se laisse absorber par la conscience automatisée, elle risque de morose ce qui est sa serieuse espèce : une passerelle.